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“L'immobilier géolocalisé efficace” |
Marché à deux vitesses : seuls les biens de qualité trouvent preneur aujourd'hui à Paris
Par Webmaster 
, le 4 décembre 2006
Les agents immobiliers du 9ème arrondissement parisien rassemblés par le Figaro sont unanimes pour dire que les prix ont continué à monter cet été pour s'élever aujourd'hui 6500-6600 € du m2. Ils s'affichent ainsi à 300 ou 400 € de plus qu'au début de l'été. Mais ce renchérissement s'est fait aujourd'hui au détriment des volumes de ventes : si les biens familiaux et les biens sans défaut trouvent toujours rapidement preneur, les biens mal situés (rez de chaussée, rue bruyante ...) traînent et se vendent au prix d'une décote importante. La sélectivité des ventes explique sans doute d'ailleurs une partie du maintien de la hausse des prix. Pour le 18ème arrondissement, c'est le phénomène "Bobo" qui est invoqué pour expliquer la poursuite de la hausse des prix. Les agents observent également un ralentissement des transactions. Les acheteurs ont plus de mal à boucler leurs projets et sont par conséquent plus exigents. La disparité des prix est forte dans le 18ème, avec un quartier des Abbesses toujours au sommet à 7000 € du m2 et le nord de l'arrondissement qui ne descend pas sous les 4500 € du m2. L'image de l'arrondissement, aux dires des agences, s'est nettement améliorée et les acheteurs peuvent trouver des immeubles pierre de taille jusqu'à 20 % moins cher que dans les autres quartiers. (IXème arrondissement : le prix de l'art de vivre et XVIIIème : le virage bobo maintient les prix à la hausse - articles extraits du Figaro immobilier)
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