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“L'immobilier géolocalisé efficace” |
A la rentrée fleurissent les marronniers ...
Par Webmaster , le 30 août 2005
Les années passent et se ressemblent : les "Spécial immobilier" de Capital et du Nouvel Observateur constatent toujours un marché à la hausse avec des prix encore jamais atteints pour l'immobilier parisien. Ils constatent néanmoins que la folie des années passées semble s'émousser : les acheteurs se font moins nombreux, l'offre augmente, et les prix, quoique toujours en hausse sur un an, se stabilisent un peu partout. C'est que les acheteurs arrivent aux limites de leur capacité d'emprunt : même l'ultime marché de report que constitue La Goutte d'Or à Paris, l'un des quartiers les plus populaires, dans le 18ème arrondissement, atteint 3700 € du m2 en moyenne avec des pointes à 4000 €. Pour leur financement, Empruntis constate que 45 % des emprunteurs adoptent des prêts entre 20 à 30 ans et, d'après une récente commission bancaire, la côte d'alkerte s'approche avec 20 % des acheteurs consacrant plus de 35 % de leurs revenus à financer leur logement (contre 10 % en 2000). Pour autant, s'ils jugent une baisse possible à cause de la décorrélation entre revenus et prix, les deux dossiers écartent l'idée d'un krach immobilier, du fait d'un niveau des taux toujours faible et d'une moindre spéculation par rapport à 1991. Le dossier de Capital se distingue à nouveau par la grande lisibilité des cartes de prix qu'il fournit pour Paris et sa banlieue, mais il faudra acheter la version papier pour pouvoir les consulter. (Sommaire de Capital et le dossier du Nouvel Obs)
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