Dès que l'on enlève la perfusion publique c'est dur... hi hi hi

autant je ne crois pas à la reprise ce si tôt, autant le frémissement est net et invalide complètement la notion de krach.
Nous allons vivre une longue période entrecoupée de baisses et de frémissements ...

Sont bien pris à la gorge en Espagne!

La reprise est bien là hi hi hi

Comme je l'ai déja mentionné plusieurs fois sur le forum, les poussées inflationistes viendront du $ , je fais le pari que l'euro va monter et que l'inflation sera faible en europe ...sauf les actifs qui vont s'envoler.

Alors les loosers, vous donniez Londres en exemple, Paris n'a pas eu le temps de baisser que Londres est deja reparti au plus haut

Un jour c'est reparti, un autre la reprise va être longue à venir... les Notaires se contredisent à chaque intervention... symptomatique d'un dilemme : comment commenter la réalité des chiffres (d'un véritable krach) et ne pas créer la panique :-)

pas un grand intérêt, un bon discours d'AI de base ...

de quoi acheter 70000 logements à 2M$ , ou 14000 à 10 M$ ou
10000 à 10$ et 20 000 pieds à terre à Paris ...on comprend maintenant ou vont tous les $ imprimés par la FED !

c'est la fête, l'argent coule à flot, on respécule comme avant la crise, les taux sont bas, tout va bien !!!

Baromètre Empruntis : après la forte baisse de septembre, le mois d'octobre débute sur des bases similaires (entre -0,10 et -0,20%).

étonnant, on est pourtant dans un marché baissier.

La Société d'études RealtyTrac estime ce jeudi que les propriétés US soumises à des saisies ont représenté environ 938.000 logements durant le 3ème trimestre 2009, en croissance de 23% en comparaison de l'an passé et de 5% en séquentiel, en comparaison du second trimestre. Ce chiffre comprend les propriétés soumises à des "notices de défaut" sur les crédits, les enchères programmées et les reprises de possessions bancaires. Cela signifie qu'un logement américain sur 136 a été victime de ces "foreclosures" durant le trimestre écoulé, un record depuis les débuts de l'étude en 2005.

Pensez-vous que les taux peuvent monter dans ces conditions ?

de quoi relancer l'immobilier à Manhattan !

Cette baisse assez nette sur le mois d'août pourrait paraître anecdotique si elle ne concluait pas un rally de 4 mois de hausse très forte à Londres après 18 mois de baisse quasi ininterrompue...
Certes on ne peut rien conclure sur un seul mois mais cela prouve au moins que même quand on croit que la hausse est repartie, il faut être très prudent car sur le long terme, même en cycle baissier, on peut avoir des trimestres de hausse au milieu de trimestres de baisse...
Enfin, ce chiffre conforte les analyses des experts outre-manche qui plus objectifs qu'en France prévenaient déjà que la hausse actuelle à Londres n'allait pas durer et que le krach pourrait bien continuer en 2010 !

Au delà de l'anecdotique hausse infime sur le mois, force est de constater un ralentissement du rythme de la baisse.
En effet, plus que la courbe des prix sur laquelle la baisse n'est pas encore remise en cause, ce sont les courbes des variations annuelles qui interpellent, surtout celle des maisons sur laquelle on constate un changement de pente assez net et qui semble repartir à la hausse : en clair, la rythme de baisse diminue...
Pour les apparts, c'est beaucoup moins net mais ils pourraient suivre...

Effet saisonnier avant un nouveau plongeon et début de la fin de la baisse, on ne peut conclure définitivement surtout sur des chiffres tant sujet à controverse... attendons les chiffres Notaires pour une éventuelle confirmation...

Le SNAL a rencontré Benoist Apparu hier pour lui proposer des mesures de promotion de la construction en lotissement. Au programme, incitation financière et accélération des procédures d'urbanisme.

zolie image de bourges, avec une zolie fleche, les 8% sont du plus bel effet

"L’argument de l’offre inférieure à la demande est souvent l’Argument par excellence pour justifier de la préservation de l’immobilier français. Comme s’il suffisait d’un seul paramètre pour définir la direction d’un secteur… [...] Etant donné qu’il nous est dit et répété que le nombre de logements risque de rester très insuffisant en France (globalement) pour longtemps encore (à noter la baisse importante des constructions depuis fin 2008), le raisonnement voudrait alors que les prix soient orientés à la hausse sur le long terme. Un vendeur propose à un acheteur un appartement de 100m2 à Paris, peu importe le prix, à 1 milliard d’Euros par exemple : pas de problème, avec la pénurie de biens, l’acheteur est obligée de dire « oui », mais finalement ça ne sera pas douloureux car il pourra le revendre plus tard encore plus cher. C’est bien connu, les arbres montent jusqu’au ciel. Le raisonnement est bien sûr extrême, mais montre surtout l’absurdité de croire que le critère offre/demande est suffisant pour expliquer la tendance du marché. Gageons que cela soit en fait évident pour tout le monde, même si au travers des discours que j’ai pu entendre on peut parfois en douter."