Et ça continue... la baisse dans les 8 principales agglomérations (parmi lesquelles le poids de Paris doit représenter presque la moitié) approche désormais les -5% !!!
Mais le plus impressionnant, c'est que ça baisse vraiment que depuis 2 mois !
Donc c'est clairement la chute libre : pour les apparts, on est à un rythme de -18%/an !!!

Bon, je tire sur l'ambulance mais bon y'en a encore qui croient que ça ne va baisser que de 20-25% à terme... -60%, je vous dis ;-)

C'est bien la preuve que sur les biens de qualité, il faut accepter un rabais de 5 à 10 % et de 15 à 20 % sur les biens de moins bonne qualité
Pas mal en 6 mois

A Londres, effectivement, les valeurs ont déjà chuté de 15 % et on attend encore une baisse de 15 à 20 %.

Pour notre part, nous aurions dû faire une vingtaine de transactions en septembre. Or la moitié ont capoté du fait de la clause suspensive de crédit notamment.

200%-5% Reste 195% de hausse.Y'a de la marge!

En peut prévoir le double. Désolé les neuneux.
Hi Hi Hi

Les indicateurs se suivent et se ressemblent...
Sur histo-immo, la baisse approche les 2% en... 2 mois !
2 mois qui effacent les 10 mois précédents puisque sur un an, ça baisse aussi...
Bref c'est la chute finale...

Londres ne baissera jamais c'est bien connu, et comme vous avez parler des enchere a Paris je vais parler des enchere a Londres.
"Lot 738, a two-bedroom flat with two bathrooms and two balconies in a gated development with communal gardens in Abbey Wood in east London fell for just £96,000. In April 2004 the flat was sold for £187,495 and the unlucky former owner could easily have expected it to be worth at least £300,000 last summer."
resultat -68%

"Another lot, a new one-bedroom flat in a stylish block of flats in Lordship Lane, East Dulwich went for £100,000. It was bought for £175,000 in March 2005 and could have fetched around £250,000 at the peak of the boom."
resultat -60%

Bref les merdes et le normal Paris ou pas Paris ca va chuter sec.


Ami haussier et defenseur de Londres qui est comme Paris et ne peut baisser je pense que vous avez vue vrai, Paris va rejoindre Londres mais peut etre comme vous l'esperiez.

Suivi du climat au boulot, plus personne ne parle de l'immo ou de la bourse, double effet Kiss Cool, -70% a la bourse et - 60% sur l'immo bonne moyenne.

Mes collegues fond la gueule mais je passe du statu de bouffon qui n'a pas investie a celui d'envier qui a 0€£$ de credit. Et la je dis, il ne faut pas vivre au dessus des ces moyen, acheter tout et toujours cash et tout vient a point a qui sait attendre. Ce sont des vieux adage oublier par tout le monde trop presser de profiter et d'avoir tout tout de suite, mais toujours valable.
Pour accentuer le tout je rajoute c'est pas grave ca redondira un jour comme les techno d'ici 10 ou 15 ans pour leur faire prendre la valeur du temps.
Demain je vais laisser le journal bien en evidence sur mon bureau.

Victoire acquise faute de concurrents encore valides ?^^

Quoiqu'il en soit, une petite baisse des taux serait la bienvenue pour fêter l'évènement...

"C'est dans le secteur de l'habitat que la correction s'avère la plus forte. La production de crédits nouveaux est en recul de près de 18 % sur un an, à 122 milliards. Mais le changement est dû davantage à un fort repli de la demande qu'à un durcissement de la politique des banques. Dans l'immobilier, les candidats à l'achat attendent une baisse des prix plus forte, que les vendeurs renâclent à consentir, tandis que les investisseurs sont encore réticents. La remontée du chômage rend également les acheteurs plus prudents."

il y en a qui risquent d'être surpris l'an prochain ...

Oui mais là, je crois que plus personne n'y croit.

Comment aider le secteur de la construction tout en accompagnant la baisse des prix...pas facile !

Ca va finir par se savoir... LOL

Voilà que la FNAIM prône la baisse des prix... On aura tout vu...

Plus besoin d'entrer dans le détail puisque ça baisse partout, que dis-je ça baisse, ça plonge !
Vous pouvez aller directement au tableau des ventes à Paris et vous regarder la couleur des flèches... ça suffira ;-)

Juste une remarque : les chiffres du tableau sont déjà dépassés par rapport à ceux publiés en direct sur le site Seloger, dommage. La preuve aurait été encore plus flagrante car les derniers chiffres hebdo montrent encore une baisse d'environ 2%.
En clair, actuellement, c'est nul sur l'année 2008 et ça baisse d'environ 4% par rapport au plus haut.

Vu la propension des pros à minimiser le krach et à faire des prévisions 2 fois inférieures à la vérité depuis qqs semaines (cf. post précédent), autant dire que la baisse sera de 20%...

Pour lutter contre la discrimination au logement, les professionnels de l'immobilier (FNAIM en tête) organisent un grand test des agences.

Le centre de Londres ne baisse pas : les pics de prix des appartements les plus luxueux des quartiers centraux ayant été atteints en mars 2008, avant de perdre 13 %, à fin octobre, selon l'indice de Knight Frank.
Paris : Les mois de septembre et octobre ont été creux, marqués par une baisse brutale du volume des transactions. L'atterrissage en douceur prévu par les experts n'a pas eu lieu"
On est à -50% en volume sut les derniers mois
Il n’y a pas d’augmentation des stocks : « Féau, principal acteur du marché parisien, a 1 000 biens en mandat, contre 500 il y a un an, à la même date. »
100% d’augmentation des stocks + 50% de baisse des volumes = *4 sur la rotation du stock

"- On propose à Jérôme un investissement Robien à Marseille, dans le 11è arrondissement."
[...]
"- Il faut diminuer sa valeur.
"- Exactement. Et de combien ? D’un tiers tout simplement ! Il ne s’agit que d’un exemple. Mais il montre que l’on ne sortira pas facilement gagnant d’un placement Robien (ou Borloo). J’ajoute que Jérôme risque aussi d’acheter trop cher pour des raisons conjoncturelles. Le marché immobilier marseillais est orienté à la baisse. S’il veut économiser un peu plus de 3 000 euros d’impôts, comme il le fera avec un Robien, je lui conseille plutôt des placements financiers comme le FCPI ou les FIP."

Il y a d'abord des témoignages sur le vif qui en disent long : "C’est le grand plongeon (...) Les ventes ont déjà chuté de 30 à 40 %. Si ça continue, et il n’y a aucune raison que ça ne continue pas, ça va être la cata"

"le constat est «très angoissant». «On a beaucoup de rentrées de biens, mais pas de clients», note-t-elle. Pour l’année, son chiffre d’affaires devrait être amputé d’un tiers. «Avec l’annonce de la crise, plusieurs ventes en cours ont été bloquées. Les gens se sont rétractés"

Et puis on ménage la chèvre et le chou :
"Chez Empruntis, on constate effectivement un recul des prix : «5 % de baisse pour 2008» , pronostique le courtier. Et cela devrait s’accélérer en 2009 : «Entre - 9 % et - 14 %». Autant de pronostics qui invitent à retarder l’opération. «Mais c’est peu, comparé à 140 % de hausse depuis 2000 !» relativise le courtier."

Enfin, ce monument de bravoure jurnalistique objective : "La baisse des prix a-t-elle commencé ?

Oui. Notaires et agents immobiliers admettent désormais que le marché s’est retourné. Au vu des divers indicateurs, prétendre le contraire serait peu crédible. Selon l’Observatoire des marchés de l’ancien de la Fnaim, les prix des logements anciens ont enregistré une baisse de 1,2 % en octobre, en moyenne nationale. Ce recul touche le marché des maisons (- 1,6 %) comme celui des appartements (- 0,8 %). En septembre, la baisse mensuelle avait été encore plus vive : - 3,2 %. Commentaire de la Fnaim: «Le fort recul des prix au cours des trois derniers mois (- 4,3 %), impacte désormais le rythme de variation annuel des prix». Autrement dit, pour la première fois depuis onze ans, l’immobilier devrait afficher en fin d’année des prix inférieurs à ceux en vigueur un an plus tôt.
La baisse sera-t-elle significative ?

Le 19 novembre, le réseau Laforêt, qui comprend 875 agences, publiait ses chiffres trimestriels. Diagnostic : la baisse des prix moyenne constatée sur les transactions effectuées par le réseau était de 6,1 % à fin octobre. Mais la tendance pourrait s’accélérer et atteindre «en moyenne 10 % en 2008 par rapport à 2007». Pour sa part, le délégué général de la Fnaim, Henry Buzy-Cazaux, pronostique une baisse des prix de 5 à 8%.
Paris sera-t-il épargné ?

D’aucuns prétendent que les prix vont baisser partout sauf en Ile-de-France, où la situation du logement est effectivement tendue. En réalité, un peu partout en région parisienne, y compris à Paris, des agences immobilières mentionnent sur certaines annonces «prix en baisse». Lors de la précédente crise de l’immobilier (1991-1996), les prix avaient chuté de 40 % à Paris. La capitale n’est pas à l’abri!"

-44%... en toute objectivité pour une fois, d'après vous, existe-t-il un marché dans le monde dans lequel une telle chute des ventes n'a jamais entraîné un effondrement des prix ?