Builders to buyers: Take this house, please!
The once-hot housing market's about-face has created amazing incentives for buyers. What are you waiting for?

Un professionnel baissier, une nouvelle race à part.

On appréciera la compromission ahurissante que constitue ce marché d'escrocs qu'est devenu l'immobilier.

10 mistakes that made flipping a flop

Un article sur le retour sur investissement d'un achat immobilier aujourd'huià Paris.

N'hésitez pas à corriger mes erreurs ou à apporter des corrections, j'ai essayé d'être le plus objectif possible.

L'indice Laforêt de septembre montre que le prix de l'immo à Paris en septembre 06 est le même qu'en octobre 05.

Hausse sur un an = 0% !

Même si cet indice est d'une exactitude douteuse, c'est quand même un signe fort.

Pourquoi investir dans un marché immobilier qui va, au mieux, stagner alors que la bourse a de beaux jours devant-elle ?

et ça ne fait que commencer.

Confirmation de l'impact de l'immobilier sur le ralentissement de l'économie américaine...

Les baissiers ont encore du boulot pour convaincre et aller contre l'opinion...
Extraits :
"le logement arrive en tête des préoccupations des Français"
"... le logement est cité par 44% des personnes interrogées... 53% à Paris..."
"65% (et même 72% des locataires) pensent que le prix des logements va augmenter dans les 5 ans à venir"

En cohérence avec ses analyses précédentes, le Crédit Agricole, dans sa note trimestrielle sur l\'immobilier d\'Octobre, considère toujours que le marché immobilier reste relativement sain. En effet, la prime de risque sur investissement locatif reste à un niveau acceptable et les acteurs n\'ont pas un comportement spéculatif : les ménages profitent plutôt de conditions financières attractives pour se loger. Toutefois, le ralentissement du marché se poursuit, avec une hausse sur un an ramenée à 4,5 % et un rythme des ventes qui ralentit (en Ile de france, -2,8 % sur un an au 2ème trimestre). En effet, les ménages arrivent à leur limite de solvabilité avec un taux d\'effort au niveau national à 31 % (contre 33 % au précédent pic de 1991), ce qui rend les acheteurs plus sélectifs et plus hésitants. Les investisseurs montrent également moins d\'intérêt pour le marché, du fait de rendements amoindris (en particulier pour les programmes Robien, ce qui entraîne une hausse des stocks de logements neufs) : les loyers sont certes toujours bien orientés dans un marché tendu (+5,2 % en 2005) mais moins que les prix à l\'achat. Dans ce contexte, le contrôle du risque dans les établissements prêteurs est élevé et les ratios de créances douteuses restent bas, ce qui permet de parler d\'un marché \"raisonnable\". Le scénario prévu pour 2007 est une poursuite de l\'affaiblissement de la demande (sans effondrement) avec un freinage fort sur les prix. Ces derniers devraient être stables en 2007 voire en baisse sur certains marché. Le risque est faible que les ventes ou les prix connaissent une correction très nette : ce scénario se produirait dans le cas d\'une résurgence de l\'inflation qui entraînerait une hausse des taux longs, ce qui est peu probable selon la banque. (<a href=\"http://www.credit-agricole.fr/IMG/pdf/EI_061018.pdf\" target=\"_blank\">Note trimestrielle sur le marché immobilier - Kiosque Eco Crédit Agricole</a>)

Ca y est les carottes sont cuites, le rendement locatif a paris est desormais inferieur a celui des obligations...

Cet article partage ma conviction que c'est le changement des mentalités qui est la première cause de la hausse de l'immobilier...
Le logement est aujourd'hui considéré comme un bien de consommation et non plus comme un placement... et tout le monde veut "son" logement et est prêt à tous les sacrifices (endettement sur 30 ans, mensualités énormes...)
Tant que cette fièvre acheteuse ne retombera pas, les prix resteront haut et ne suivront pas une logique purement financière et cyclique, même s'il y a un recadrage dans les prochains mois... c'est ma conviction.

ça, c'est de l'info toute fraîche, Thomas. Prends en de la graine...

Les chiffres de septembre sont supérieurs aux attentes...

De plus, ici :

http://www.lesechos.fr/info/inter/300107925.htm

il est dit que l'inflation US ralentit très nettement, d'où la probabilité d'une baisse des taux américains.

On diirait que le crash immobilier tourne court aux USA.

"La relative baisse des prix est donc salutaire pour resolvabiliser les acquéreurs qui restent très nombreux.". Et en plus c'est seloger qui le dit...

allez au chapitre : "Housing slump"

Si ça se confirme, je plains les pauvres emprunteurs à taux variable très nombreux outre-manche!

Un an avant la baisse observée des transactions et la baisse des prix, seul les biens les plus chers se vendent ce qui prolonge la courbe de hausse pendant un temps. Rendez-vous à l'automne 2007 ...

pour ceux d'entre vous qui seraient encore tentés de s'endetter sur 25 ou 30 ans pour acheter des biens surévalués. A par cela la solvabilité des ménages est bonne. Il est urgent de donner des cours d'économie aux Français.