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0 clics | Les vendeurs manquent de sagesse dans le 5ème arrondissement posté par Webmaster ![]() |
Quartier central et animé de Paris, l\'attraction qu\'exerce le 5ème arrondissement ne faiblit pas. Toutefois, les agents immobiliers du secteur observent une accalmie dans le volume de transactions. Alors que les prix tendent à se stabiliser, les vendeurs trop gourmands surcotent leurs biens et font traîner les transactions. La clientèle acheteuse est très variée et composée aussi bien d\'étrangers, de seniors et de jeunes actifs aisés. En revanche, les primo-accédants sont exclus du marché. En effet, les prix sont très hauts. Ils débutent à 6500 € du m2 au Sud, près du Boulevard St Marcel ou de l\'Hopital. Près de la rue Mouffetard, il faut compter entre 7500 et 8500 € du m2. Autour de Maubert, les biens s\'échangent à 8000 € du m2, tandis que le must de l\'arrondissement, près du Luxembourg ou autour du Panthéon, passe la barre des 10000 € du m2. Du côte de la location, les excés relevés dans les années précédentes se corrigent, avec des baisses allant parfois jusqu\'à 15 % par rapport au loyer (élevé) pratiqué pour l\'ancien locataire. L\'article fournit quelques exemples de transactions réelles. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/immobilier/20060503.WWW000000236_le_ve_arrondissement_stabilisation_en_vue.html\" target=\"_blank\">Le Ve arrondissement : stabilisation en vue - Le Figaro</a>) |
0 clics | Bulle immobilière : est-on au bord du krach ? posté par bronto ![]() |
Il s'agit cette fois ci du point de vu de Exane-BNP Paribas |
0 clics | L’immobilier craque, mais ne « krache » pas… encore posté par bronto ![]() |
Ca ne devrait plus tarder à en croire l'article.... |
0 clics | Les prix de l’immobilier se stabilisent posté par bronto ![]() |
Le plus interressant est en page 30 (A suivre) |
0 clics | INDICE FNAIM: EST-IL SI FORT QUE CA? posté par kurt saturax le 11/05/06 - 2 commentaires |
Attention aux apparences... |
0 clics | FNAIM: RALENTISSEMENT SANS EFFONDREMENT posté par Georges le 10/05/06 - 44 commentaires |
Incroyable : + 2% en Avril ! soit 24 %/an. Barroud d'honneur ou phénomêne durable? |
0 clics | A Chill Is in the Air for Sellers posté par Teilhard le 10/05/06 - 3 commentaires |
ça bouge................. |
0 clics | La Banque de France se pose la question de la soutenabilité des prix de l'immobilier posté par Webmaster ![]() |
En septembre 2004 déjà, la Banque de France avait publié une étude sur l\'immobilier français jusqu\'à fin 2003, qui concluait qu\'une poursuite de la progression des prix au rythme observé en 2002-2003 n\'était pas sans risque. Un an et demi plus tard, elle fait donc le point, alors que l\'évolution s\'est poursuivie. Trois approches sont proposées en comparant 6 pays (France, Etats-Unis, Royaume Unis, Espagne, Allemagne, Pays-Bas) sur les critères suivants : l\'étude de la solvabilité des ménages en fonction de leur revenu, des taux d\'intérêt et du niveau des prix, la comparaison prix de location / prix d\'achat et enfin le calcul du niveau de rentabilité locative pour l\'investisseur. Pour la France, la solvabilité s\'établit en 2005 à 2,8 points au dessus de celle qui prévalait à son plus bas en 1991 : si les taux augmentaient de 1 point, elle régresserait à 2,5 points en dessous de son niveau de 1991 (à prix constants). Concernant le 2ème aspect de l\'étude (arbitrage accession / location), l\'opportunité d\'acheter en France est inférieure à sa moyenne de long terme, mais reste assez largement supérieure à celle de 1991, du fait de la hausse parallèle des loyers et des prix. Enfin, la rentabilité locative reste dans une zone \"normale\" dans un contexte où l\'actif de référence (taux de placement sans risque) est très bas. En synthèse, l\'étude conclut que si les indicateurs se maintiennent tous au dessus de leurs niveaux de la précédente crise, cela est dû pour presque tous au niveau très bas des taux d\'intérêt. Contraitrement à 1992-1993 où la soutenabilité était dégradée en raison de la hausse des taux, en 2005-2006, elle est dégradée même en l\'absence de hausse des taux. (<a href=\"http://www.banque-france.fr/fr/publications/telechar/bulletin/etu148_1.pdf\" target=\"_blank\">La soutenabilité des prix de l’immobilier aux États-Unis et en Europe - Banque de France</a>) |
0 clics | La BCE laisse son taux directeur inchangé à 2,50 % posté par Jean-ClaudeTrichet le 05/05/06 - 5 commentaires |
"une nouvelle hausse des taux pourrait avoir lieu à court terme" |
0 clics | Soit disant que ça monte encore... posté par cbm le 05/05/06 - 22 commentaires |
mais moins vite... |
0 clics | De pire en pire... posté par Labaisse le 05/05/06 - 3 commentaires |
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0 clics | pessimisme posté par mika le 04/05/06 - 12 commentaires |
Dans le 20 minutes d’hier, j’ai lu un truc sur le manquie de logement en region pariseinne, la faute a l’obtention de permis trop long etc… |
0 clics | Insolite posté par cbm le 04/05/06 - 3 commentaires |
C'est pas vraiment drôle, mais c'est la vrai vie. N'oublions tout de même pas qu'après Décohabitation il a remise en ménage, mais l'article n'en parle pas. |
0 clics | bientôt les chiffres fnaim posté par paranormal le 03/05/06 - 11 commentaires |
J ESPERE QUE LES NOUVEAUX CHIFFRES FNAIM VONT ACCROITRE L ARDEUR DES INTERVENANTS DE CE SITE! |
0 clics | Immobilier : gare à l'effet boomerang posté par lembusqué ![]() |
Dans l'hypothèse la plus optimiste, le marché français du logement va atterrir en douceur. Mais la fin de la hausse des prix de la pierre, c'est aussi la fin de l'effet richesse. |
0 clics | A l'ANIL, 34 % des simulations de prêts principaux a une durée supérieure à 25 ans posté par Webmaster ![]() |
Les acheteurs font des projets sur des durées toujours plus longues pour acheter leur bien immobilier : en seulement 6 ans, la part des simulations de prêt réalisées à l\'ANIL sur 20 à 25 ans est montée de 24 à 40 % tandis que les prêts de 25 ans et plus, inexistants il y a 6 ans, se banalisent aujourd\'hui pour représenter 34 % des simulations. En une seule année, leur part s\'est accrue de 23 à 34 %. Dans un contexte de taux faible, et avec des mensualités que les prêteurs ne veulent pas voir excéder 30%, la durée des prêts constitue la variable d\'ajustement. Toutefois, la hausse des taux actuellement en cours (les taux OAT à 10 ans ont dépassé cette semaine 4% et la hausse commence à être répercutée par les banques) va rendre ces prêts moins attractifs en accroissant fortement la part des intérêts. Le risque est une réduction de la capacité des ménages sous le double effet de la réduction des durées et du renchérissement du coût du crédit, à l\'inverse de ce qui s\'est produit depuis quelques années. (<a href=\"http://www.lesechos.fr/patrimoine/immobilier/200075281.htm\" target=\"_blank\">L\'allongement des prêts principaux tend à s\'accélérer - Les Echos</a>) |
0 clics | Il semblerait que le volume de vente de PAP chute sur Nice !!! posté par Coluche le 26/04/06 - 5 commentaires |
Sur PAP on constate qu'il y a eu 60 ventes en janvier, février et mars 2005. Ce qui est amusant c'est que sur la même période mais en 2006 il n'y a eu que 6 ventes conclues de particulier à particulier durant ces trois mois !!! Mais que se passe-t-il !!! La grippe a-t-elle décimé les derniers pigeons ! |
0 clics | Ralentissement des prix, sous l'effet de la désolvabilisation des ménages posté par Webmaster ![]() |
Les prix de l\'immobilier en France, en progression de 120 % par rapport à leurs plus bas de 1996, atteignent un seuil critique d\'après Olivier Eluère du Crédit Agricole. Leur progression, qui a diminué tout au long de 2005, devrait continuer à fléchir dans le courant de 2006, avec une hausse prévue de 5 % sur 2006 (pour rappel, la FNAIM table sur 9-10 %). Deux facteurs commencent à peser sur le marché : le risque de hausse des taux, déjà mentionné dans un article précédent de ce site, et l\'arrivée en masse des Robiens, qui commence à déséquilibrer localement les marchés locatifs. Pour autant, la banque verte ne prévoit aucune baisse et ne perçoit pas de situation de bulle sur le marché pour deux raisons : la solvabilité des ménages reste meilleure qu\'en 1991 (les annuités de crédit habitat représentent aujourd\'hui 38 % des revenus d\'un ménage parisien contre 55% à l\'époque) et il n\'y a pas de comportement spéculatif sur le marché (les anticipations des acteurs sont raisonnables sur les loyers, l\'inflation et les revenus et la prime de risque est positive). Au niveau national, la solvabilité s\'effrite également puisqu\'un ménage moyen dépense aujourd\'hui 31 % de son revenu pour un achat immobilier. Le rapport évalue qu\'une hausse des taux de 1 % ferait monter ce ratio à 34 %, avec pour effet de freiner voire baisser les prix dans certaines zones ponctuelles. (<a href=\"http://www.credit-agricole.fr/IMG/pdf/EI060425.pdf\" target=\"_blank\">Note trimestrielle sur l\'immobilier par Olivier Eluère - Crédit Agricole</a>) |
0 clics | De l'impact de la stagnation des prix ! posté par Georges le 25/04/06 - 6 commentaires |
Le film catastrophe fait echos ! |
0 clics | Légère hausse sur le 1er trimestre posté par filou le 24/04/06 - 4 commentaires |
Sur paris, hausse de 1% sur le trimestre |
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