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0 clics | La Poste attirée par le Boom des prêts immobiliers posté par Laurent (acheteur désespéré par les prix stratosphériques) le 15/05/05 - 1 commentaire |
L'opérateur postal cherche à grignoter des parts de marché. La soupe est bonne !!! |
0 clics | Orco Property copie sur Alcatel posté par gm le 14/05/05 - 1 commentaire |
Vous ne révez pas. Il s'agit bien du cour de bourse d'Orco Property en mai 2005. |
0 clics | Royaume-Uni : le prix des appartements neufs chute de 17% posté par Jack, Agent immobilier à Whitechapel le 13/05/05 - 2 commentaires |
Pas de doute, la situation va de mieux en mieux... |
0 clics | Evolution taux d'intéret posté par azeotrope le 13/05/05 - 3 commentaires |
Propositions d'évolution des taux d'intéret pour le 21° siècle : Donnez vos commentaires : A priori on est dans le scénario de baisse (rattrapage faible) |
0 clics | Le 16ème arrondissement redevient proportionnellement attractif posté par Webmaster le 12/05/05 - 43 commentaires |
Alors que la hausse se poursuivait à 10 voire 15 % par an dans les autres arrondissements de Paris, le 16ème s\'est apprécié à un rythme moindre ces dernières années. Partant d\'un niveau élevé il y quelques années, la comparaison avec d\'autres arrondissements bascule désormais en sa faveur grâce à la qualité de son parc. Les mutations actuelles concernent principalement des appartements du studio au 4 pièces : les ventes de grands arrondissements sont comparativement moins nombreuses qu\'en 2004. Au sud, les prix démarrent à 4800-5800 € du m2 à la Porte de St Cloud, montent à 5700-6400 € autour du village d\'Auteuil et atteignent 6000 à 6700 € à Passy. Les transactions sont principalement le fait des investisseurs, qui atteignent 70 % des transactions. Ceux-ci investissent dans une logique patrimoniale plus que de rendement. En effet, les loyers de relocations sont plutôt orientés à la baisse : au mieux les appartements sont loués au même prix qu\'un an auparavant, au pire une décôte de 10 à 15 % est pratiquée pour pouvoir relouer dans un contexte où les stocks montent. Les petites surfaces partent entre 25 et 30 € du m2 tandis que les grandes se louent de 18 à 22 € du m2. La fluidité actuelle du marché semble se réduire à l\'achat du fait d\'une hausse des prix qui affecte la solvabilité des ménages. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/immobilier/20050511.FIG0329.html\" target=\"_blank\">XVIe centre et sud : un bon rapport qualité-prix</a>) |
0 clics | La population française pourrait atteindre 75 millions d'habitants en 2050 posté par Didou le 12/05/05 - 7 commentaires |
Le site féminin culturefemme remet ça en parlant de "De Robien" et de son enthousiasme sur la future population (acheteuse de logements !!!) |
1 clics | La France comptera 75 millions d'habitants en 2050 posté par JackP le 12/05/05 - 3 commentaires |
Encore un moyen de justifier la pénurie de logements et la hausse des prix !!! Cela a l'air d'être une spécialité de L'INSEE. |
0 clics | FNAIM IDF : baisse -19% des promesses de ventes par rapport au 1er semestre 2004 !! posté par Snoopy le 10/05/05 - 6 commentaires |
Ca va de mieux en mieux... |
0 clics | Quartier Bastille : l'engouement se poursuit posté par Webmaster le 09/05/05 - 46 commentaires |
Le quartier Bastille reste toujours très recherché en ce premier semestre 2005, moins par effet de mode comme dans les années 2000 (d\'autres quartiers ont pris le relais, tels Oberkampf ou le canal St Martin), que pour son aspect central, au coeur de Paris. Les volumes se maintiennent, d\'après les agences, mêmes si les ventes concernent plus des biens de qualité, tandis que les biens moyens trouvent plus difficilement preneurs. Les prix ont augmenté de 10 à 20 % depuis un an, avec un ralentissement de la hausse depuis septembre 2004. Ils atteignent les prix des quartiers ouest parisiens entre 5500 et 6500 € du m2 à proximité de la place, et entre 4500 et 6000 € du m2 à l\'Est et au Nord de la place coté 11ème. Dans le 4ème, autour du Boulevard Henri IV et près de la seine, ils se situent même au delà de ces chiffres, entre 6500 et 7500 € du m2. L\'ancien est plus côté que le récent. Les investisseurs sont toujours présents sur le marché, sur des biens entre 100 000 et 130 000 €. Le marché à l\'achat, maintenu actif par la faiblesse des taux, est vu en stabilisation, avec une prime pour les biens de qualité sur les biens moyens. A la location en revanche, le marché poursuit son ralentissement avec la remontée des stocks, environ deux fois plus importants qu\'il y a un an, surtout sur les grands appartements. Les prix à la location s\'établissent en moyenne entre 23 et 25 € du m2 pour les petites surfaces et à 20 € pour les grandes. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/immobilier/20050504.FIG0287.html\" target=\"_blank\">Autour de Bastille : des prix toujours plus hauts - Le Figaro</a>) |
0 clics | L'intérêt des gouvernements à la hausse de l'immobilier posté par Webmaster le 09/05/05 - 6 commentaires |
Les gouvernements américains, anglais ou français, auraient-ils intérêt à maintenir la hausse de l\'immobilier ? C\'est la thèse évoquée par l\'étude d\'Exane-Paribas publiée récemment et reprise dans un article du Monde. En effet, l\'effet de richesse induit par la hausse de l\'immobilier est un puissant catalyseur de la consommation des ménages qui elle-même maintient la croissance économique. Elle profite aux secteurs de la construction et encourage les dépenses de biens d\'équipements en réduisant en parallèle le taux d\'épargne. Mais le risque est d\'arriver à une bulle immobilière. La situation, selon les auteurs de l\'étude, \"n\'est pas tenable\" et provoque des difficultés de logement pour de plus en plus de gens, jusqu\'à peut être mener à un krach. Comment savoir si la bulle est déjà là ? Pour des purs économistes, les lois du marché s\'appliquent : c\'est le marché qui décide du prix, dont pas de risque de surévaluation dans un contexte donné. Pourtant, la BCE croit savoir déceler \"des indices assez parlants\" de hausse \"irrationnelle\", en particulier car les prix dépassent largement l\'espoir d\'une rentabilisation de l\'investissement. (<a href=\"http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3234,36-646435@51-646528,0.html\" target=\"_blank\">La hausse des prix de l\'immobilier augmente la richesse et satisfait les gouvernements - Le Monde</a>) |
0 clics | Commencement d’éclatement de bulle en France (Culture Femme) posté par lola le 09/05/05 - 7 commentaires |
agreablement surprenant ... |
1 clics | L'état ne brade pas son patrimoine immobilier. posté par JackP le 05/05/05 - 1 commentaire |
Autrefois les ventes aux enchères des domaines permettaient de faire des bonnes affaires. Cela a changé. Ainsi le 20/4/05 s'est vendu un 19 m2 à plus de 4200 € le M2 aux Lilas (qui n'est quand même pas la banlieue la plus chic de Paris). Merci aux acheteurs qui participent au désendettement de la France. |
1 clics | Maxime posté par Maxime ( immobulle ) le 04/05/05 - 1 commentaire |
je lance un appel à tous pour me donner vos témoignages anonymes sur votre recherche en immobilier |
0 clics | Les prêts immobiliers n'ont peut être pas atteint leur plus bas posté par Webmaster le 03/05/05 - 11 commentaires |
Alors que la remontée des taux est prédite par les banques depuis déjà plusieurs mois, celle-ci pour l\'instant tarde à apparaître. S\'il est vrai que les taux avaient atteint 3,5 % sur 15 ans en taux fixe (hors assurance) il y a 2 mois, et qu\'ils ont remonté depuis à 3,65 % (dans les deux cas, ces taux étaient réservés aux meilleurs dossiers), cette tendance est remise en cause par certains experts, qui n\'hésitent pas à prédire une baisse des taux en dessous des planchers déjà atteints il y a deux mois. En effet, les marchés actions restent fragiles et l\'économie de la Zone Euro faiblit, ce qui fait prédire des taux d\'obligations d\'Etat à 10 ans en dessous de 3 % selon Exane, voire sous 2,5 % selon Patrick Artus d\'Ixis, ce qui entraînerait une baisse parallèle des taux d\'emprunt immobilier. Le niveau faible de l\'inflation sous-jacente (hors pétrole) est également à l\'origine du niveau bas des taux. Selon Jean-Pierre Petit, les taux nominaux devraient rester bas pour l\'essentiel des années 2000 dans les pays riches (Europe, Etats Unis, Japon) pour cause de croissance faible dûe au vieillissement de la population, aux déséquilibres financiers, et au coût des matières premières. Cette situation a été et restera favorable à un marché de l\'immobilier en plein boom. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/votreargent/20050430.FIG0514.html\" target=\"_blank\">Les taux obligataires ne cessent de baisser - Le Figaro</a>) |
0 clics | Hausse de prix des logements: la France dans le peloton de tête posté par jim23 le 03/05/05 - 2 commentaires |
Les prix européens n'ont pas évolué de manière uniforme l'an dernier. |
0 clics | Une proposition de loi contre la vente à la découpe posté par JackP le 03/05/05 - 2 commentaires |
Même si cette loi a pour but de protéger les locataires et d'empêcher la spéculation, ne va t-on pas au contraire accentuer la pénurie sur le marché ? |
0 clics | La bulle à Shanghai posté par jim23 le 03/05/05 - 2 commentaires |
0 clics | Les économistes dénoncent la bulle immobilière en France posté par Webmaster le 03/05/05 - 25 commentaires |
Le terme de bulle fait son apparition dans nombre de rapports d\'économistes en ce début d\'année 2005 : après Marc Touati de Natexis-Banque populaire (voir <a href=\"reagir.php?article=264&actu=1\" target=\"_blank\">article</a>), c\'est au tour de Jean-Pierre Petit et Emmanuel Ferry de Exane-BNP Paribas de soulever les risques liés au gonflement actuel des prix. Selon eux, le terme de bulle est souvent prohibé, notamment par les pouvoirs publics, pour éviter d\'effrayer, mais également car \"l\'objectif principal des pouvoirs publics est souvent d\'entretenir cette bulle\" par la politique fiscale ou monétaire. La bulle en France serait \"voulue\" pour des raisons économiques, en compensation de la chute de la bourse en 2000-2002 et pour favoriser la consommation des ménages en biens d\'équipement, pendant une période de ralentissement. Pour Exane, le risque de krach (vs un ralentissement progressif) reste limité dans les prochains 18 mois (risque de 20 %) mais que la situation actuelle n\'est pas soutenable à terme : si la hausse devait se poursuivre au rythme actuel de 15 % par an, le risque de krach s\'éleverait à 70 % à l\'horizon 2007. Pour rappel, les prix ont augmenté en 7 ans de 100 % contre 25 % pour le PIB. (<a href=\"http://www.guideducredit.com/HTMdivers/infos/75.htm\" target=\"_blank\">Bulle immobilière : des économistes ne l\'excluent plus - Guide du Crédit</a>) |
0 clics | France: les taux des crédits immobiliers devraient encore baisser posté par 360manu le 01/05/05 - 12 commentaires |
Un apercu de l'offre de financement dans les temps prochains |
0 clics | Petits signes de freinage selon le Crédit Agricole posté par Webmaster le 27/04/05 - 126 commentaires |
Dans son bulletin trimestriel publié le 25 avril, le Crédit Agricole fait état de \"petits signes de freinage\" sur le marché immobilier résidentiel : légère baisse des ventes et début de ralentissement de la hausse des prix sont constatés en France en ce début 2005. D\'après la banque, plusieurs signes montrent que le haut de cycle est proche : solvabilité dégradée des ménages (encore plus fortement en province qu\'à Paris), taux de rendement locatif au plus bas (4,2 % brut à Paris), part des primo-accédants (60 % contre 75 % en 1998) réduite. Pourtant, le scénario de la bulle spéculative est écarté et le marché ne devrait pas connaître de krach à Paris comme en 1991 (voir <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_05.pdf\" target=\"_blank\">comparaison</a>). En effet, alors qu\'en 1991, le financement d\'un logement demandait aux parisiens d\'y consacrer 55% de leur revenu, il leur faut aujourd\'hui consacrer 38% de leur revenu pour acquérir leur logement et la prime de risque reste positive. D\'un point de vue du financement, le taux moyen TEG était à 5 % en 2004 pour une durée moyenne de 17 ans avec une part de crédit longue durée (20-25 ans) qui devient importante. Le taux d\'endettement des ménages, bien que faible en comparaison des autres pays européens, atteint 60 % de leurs revenus en 2004 contre 50 % en 1998. Cette hausse ne donne pas lieu pour le moment à plus de créances douteuses ou litigieuses puisque leur taux est au plus bas (4%). Le scénario qui a les préférences de la banque est donc celui d\'un atterrissage en douceur au delà de 2005 où les prix se stabiliseraient voire baisseraient légèrement, sauf dans le cas d\'un très forte remontée des taux. (<a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_00.pdf\" target=\"_blank\">Synthèse Kiosque immobilier Crédit Agricole</a>, <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_01.pdf\" target=\"_blank\">logement ancien</a>, <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_02.pdf\" target=\"_blank\">logement neuf</a>, <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_03.pdf\" target=\"_blank\">marché locatif</a>, <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_04.pdf\" target=\"_blank\">financement du logement</a>, <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_06.pdf\" target=\"_blank\">perspectives</a>, <a href=\"http://www.credit-agricole.fr/kiosque-eco/immobilier-conjoncture/files/immo050425_07.pdf\" target=\"_blank\">bureaux</a>) |
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