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0 clics | Candide à la banque. posté par forfun le 08/03/05 - 1 commentaire |
Un internaute bien inspiré à posté cet article sur le forum de Boursorama. |
0 clics | La RICS (Royal Institution of Chartered Surveyors) prévoit un atterrissage en douceur des prix en Europe en 2005. posté par forfun le 07/03/05 - 0 commentaire |
Ce cabinet d'experts britannique argue que la reprise économique soutient la demande et que les déçus de la bulle boursière de 2000 se reporteraient toujours vers la pierre. |
0 clics | Statu quo dans le 16e arrondissement (suite) posté par gabriel le 04/03/05 - 0 commentaire |
0 clics | Statu quo dans le 16e arrondissement posté par gabriel le 04/03/05 - 0 commentaire |
Deux articles viennent de paraître coup sur coup sur Lefigaro.fr et Lesechos.fr au sujet du 16e arrondissement : rien de nouveau sous... la neige. |
0 clics | L'état d'esprit actuel des proprios ... posté par forfun le 03/03/05 - 2 commentaires |
Je n'ai pas pu résister à reprendre ce lien trouvé sur le forum des Echos. |
0 clics | Signaux de baisse sur les quartiers chics et chers posté par Webmaster le 02/03/05 - 62 commentaires |
L\'information est presque passée inaperçue dans le dernier rapport des Notaires (T3 2004) et pourtant les chiffres ne laissent aucun doute, d\'autant qu\'ils sont calculés chaque trimestre sur une période annuelle glissante : les prix ont baissé dans les 5ème, 7ème, 8ème et 16ème arrondissements. Or cette baisse est désormais visible dans les prix demandés par les acquéreurs, qui s\'adaptent progressivement aux nouvelles conditions du marché. Les baisses, de ce point de vue, sont spectaculaires puisque la consultation des prix demandés sur le site du magazine de Particulier à Particulier donne les résultats suivants sur 3 mois : 1er arrondissement (-6%), 4ème (-5%), 5ème (-6%), 6ème (-10%), 7ème (-10%), 8ème (-3%), 16ème (-1%), or la liste précédente constitue sans exception le palmarès des arrondissements les plus chers de Paris, tous au dessus de 5700 € du m2. Les arrondissements les moins chers, en dessous de 5000, voire de 4000 € du m2, continuent à monter fortement : 9ème (+2%), 10ème (+2%), 11ème (+2%), 12ème (+3%), 13ème (+2%), 19ème (+3%), 20ème (+2%) tandis que les autres stagnent. Retournement saisonnier ou vrai tendance de long terme : les prochains mois en décideront. (<a href=\"http://www.pap.fr/Eval/cote.asp\" target=\"_blank\">Prix au m2 - Particulier à Particulier</a>) |
0 clics | Baisse des prix posté par 360manu le 02/03/05 - 9 commentaires |
Aller sur Evaluation du prix au m² |
0 clics | France: ventes de logements neufs dopées en 2004 par le dispositif de Robien posté par gandalf_barbones le 01/03/05 - 4 commentaires |
Mais non, mais non, l'augmentation actuelle des prix n'est pas spéculative... "nous ne sommes pas dans une bulle" qu'ils disaient |
0 clics | La vie financiere posté par Casimir le 01/03/05 - 3 commentaires |
Un commentaire qui resume la situation |
0 clics | Les biens à leur prix se vendent rapidement posté par Vincent le 27/02/05 - 2 commentaires |
Acheteurs plus exigents, prix stabilisés depuis la rentrée et ralentissement sur les grandes surfaces. Les locations trouvent plus difficilement preneur (en moyenne il faut 1 mois et demi pour louer !). Toujours la même soupe des agents immo ... |
0 clics | Demande soutenue et prix à la hausse dans le 13ème et 14ème arrondissements posté par Webmaster le 27/02/05 - 6 commentaires |
Le marché tient bon : tel semble être le constat des agents immobiliers dans le 13ème et 14ème arrondissements. Les prix poursuivent leur hausse (plus de 10 % sur un an) et les acheteurs se battent toujours pour acquérir les biens immobiliers qui sont \"à leur prix\". Le début d\'année semble même voir revenir des acheteurs réduisant leurs prétentions en terme de surface au profit d\'un meilleur quartier. Le quartier Montparnasse est toujours le plus cher dans le 14ème, avec des prix entre 5500 et 7400 € du m2. Par exemple, boulevard Edgar Quinet, un studio de 25 m2 avec parking, est parti à 254 k€ et un 2 pièces de 42 m2 avec parking 302 k€. Les prix autour de la mairie du 14ème sont sensiblement les mêmes, avec des appartements familiaux entre 6300 et 6700 € du m2. Le Sud du 14ème est moins cher avec des prix entre 4800 à 5500 € du m2. Le 13ème n\'est pas à la traine, avec des prix dans le Nord qui se rapprochent de ceux du 5ème : il faut ainsi compter jusqu\'à 6600 € du m2 près du Jardin des Plantes, 5500 € du m2 près des squares Arago, Port Royal et Grangé, très recherchés et 5000 € du m2 sur le Boulevard de l\'Hopital. Plus bas, dans la butte aux Cailles, les biens s\'échangent entre 4500 et 5500 € du m2 tandis qu\'autour de l\'avenue de Tolbiac, il faut compter entre 4500 et 5000 € par m2. Du côté des locations, le marché se ralentit et le délai pour trouver un locataire est désormais de un voire deux mois. (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/immobilier/20050222.FIG0341.html\" target=\"_blank\">XIIIe et XIVe arrondissements : une offre toujours réduite - Le Figaro</a>) |
0 clics | Indicateur Laforêt - Les Echos : 5035 € du m2 en Janvier posté par Webmaster le 27/02/05 - 9 commentaires |
Depuis bientôt 6 mois, les prix ne bougent plus beaucoup à Paris : selon l\'indicateur Les Echos - Laforêt, les prix de vente se sont établis en moyenne à 5035 € du m2 contre 4847 € du m2 en décembre, mais des niveaux similaires à celui de Janvier avaient déjà été relevés en Juillet (5069 €) et en Septembre (5075 € du m2). L\'indicateur étant construit sur un échantillon de données faible, les différences observées sur les derniers mois sont peu significatives et montrent globalement une stabilisation. Gilbert Chouchana indique que Janvier a été un mois plutôt actif, les acheteurs ayant fait des compromis pour accéder au marché malgré le niveau de prix, à condition que les vendeurs ne soient pas exagérément gourmands. 5000 € du m2, nouvelle norme du marché parisien ? A condition qu\'une hausse des taux ne viennent pas casser cette belle mécanique. (<a href=\"http://www.lesechos.fr/patrimoine/immobilier/articles/4227787.htm\" target=\"_blank\">La barre des 5.000 euros le m2 à nouveau franchie à Paris - Les Echos</a>) |
0 clics | Quand l'histoire s'apprête à bégayer... posté par nausicaa le 25/02/05 - 1 commentaire |
Sur la bulle immobilière, biensûr. |
0 clics | La maison à 100 000 € dans la Seine et Marne posté par Vincent le 25/02/05 - 5 commentaires |
Une invention de notre cher Borloo, pour loger les familles modestes (moins de 31000 € par an pour un couple avec deux enfants). |
0 clics | Même les agents immobiliers s'inquiètent posté par bichette le 23/02/05 - 2 commentaires |
0 clics | Le terme de bulle fait son come-back posté par Webmaster le 22/02/05 - 68 commentaires |
Pascal Blanque, chef économiste au Crédit Agricole, met en garde contre la bulle immobilière, la bulle ne se pouvant être reconnue selon lui que lorsqu\'elle a éclaté. Or la situation devient préocuppante, 15 ans après la bulle de 1991. Côté immobilier de bureau, la situation semble se stabiliser, après 4 années de contractation, et le rendement se maintient à 2,5 % au dessus de l\'OAT (ce qui n\'est pas si mal) tandis que les stocks ne sont pas excessifs. Pour l\'immobilier résidentiel en revanche, la situation est embarassante partout dans le monde (sauf Japon et Allemagne), du fait des politiques monétaires accommodantes. Si les prix devaient poursuivre sur leur lancée, le niveau de solvabilité des ménages atteindrait des planchers inconnus jusqu\'alors d\'ici 6 à 12 mois et rendrait le marché très fragile. Les primo-accédants se rarifient, le rendement locatif atteint celui de l\'OAT, la hausse solvabilise la demande des achats-revente et tire les crédits. Pourtant, la loi économique s\'applique toujours et l\'immobilier ne peut durablement progresser 5 fois plus vite que le revenu des ménages. Malgré tout, quelques signes apaisants existent toujours : stocks et demande spéculative faible, taux d\'intérêt minimaux, allongement de la durée des prêts et environnement économique (croissance et chomage) plus positif. Les facteurs sociétaux plus structurels semblent aussi à l\'oeuvre pour encourager la hausse : familles monoparentales, flux migratoires, peur pour la retraite ... Pourtant les crises ont un malin plaisir à réapparaître là où on ne les attends pas . Reste à bien gérer la période 2005-2006 : après avoir aidé les ménages pour aider les entreprises à passer la crise boursière, reste désormais aux entreprises à aider les ménages à éviter une crise immobilière, pour sortir par le haut de la crise de 2000. (Le Figaro - 21/02/2005) |
0 clics | On ne voulait pas de mensualités trop lourdes - Les emprunteurs parisiens (Le parisien) posté par Vincent le 21/02/05 - 5 commentaires |
Parfait ce petit couple, qui juge que c'est avantageux d'acheter son logement, car les mensualités sur 25 ans ne dépassent pas un loyer ... A croire que les bonnes calculettes ne soient pas sur meilleurtaux.com (à quand des calculettes sur le site de l'INSEE ??). Et puis 4700 € du m2 dans le 20ème, c'est une affaire ! |
0 clics | Emprunter pour acheter, c'est le bon moment (Le Parisien) posté par Vincent le 21/02/05 - 0 commentaire |
Le parisien semble encourager à l'achat ... a croire que la hausse est encore possible en 2005. Pourquoi pas un petit 20 % ! La 2ème partie de l'article parle pourtant de risque de krach ... |
0 clics | Une hausse pour l'instant rationnelle posté par Webmaster le 21/02/05 - 21 commentaires |
Le marché devrait se calmer en 2005, et c\'est tant mieux pour éviter le pire : tel est désormais l\'avis des spécialistes. La hausse qui a porté l\'immobilier parisien à plus de 4500 € du m2 (contre 2300 € du m2 en 1997) repose, de l\'avis des mêmes experts, sur des bases solides : baisse du coût de l\'argent, intensification de la concurrence entre les banques, hausse des loyers qui a poussé vers l\'accession ... Et les chiffres semblent montrer que l\'endettement est sous contrôle, avec des encours de crédit qui ne dépassent pas 60 % du revenu disponible des ménages, soit moins que dans la plupart des pays étrangers, et pas tellement plus que les 50 % de 1999 (contre 80 % en 1991 où les taux d\'intérêt culminaient à plus de 10%). Le fait que les prix aient monté en province de manière proportionnelle à Paris montre également que le marché est plus équilibré, et moins spéculatif qu\'en 1991. Le marché a gagné en maturité en France alors que la situation dans d\'autres pays européens devient préoccupante. Le marché est sous haute surveillance par la BCE qui explique que «l\'influence des prix des actifs, immobiliers ou boursiers par exemple, sur l\'ensemble de l\'activité économique est aujourd\'hui bien plus grande qu\'autrefois». (<a href=\"http://www.lefigaro.fr/magazine/20050218.MAG0012.html\" target=\"_blank\">Le pari de la raison - Le Figaro</a>) |
0 clics | Baisse Insee : Créations dans le secteur de l'immobilier posté par Joe La Limace le 18/02/05 - 2 commentaires |
Je pense que le graphique parle de lui même - en Janvier 2005 plus forte baisse de l'indice Insee mensuel en pourcentage -18,37 % et en valeur absolue |
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