Les ventes de logements neufs en France ont baissé de 17,2% au premier trimestre !

Hors de question "de modifier la réglementation actuelle sur le dossier de diagnostic technique fourni en cas de vente pour y inclure un nouveau diagnostic relatif aux technologies de l'information et de la communication", déclare Benoist Apparu, le secrétaire d'Etat au Logement.

Les prix de l’offre immobilière se sont stabilisés en mai après un mois d’avril légèrement baissier

Le marché est « en cours de retournement », pris entre la montée en exigence des acheteurs et l'abnégation des vendeurs…

Les derniers chiffres publiés par les Notaires et l'Insee montrent qu’au premier trimestre 2011, les prix des logements anciens ont progressé de 1,5 % en données provisoires corrigées des variations saisonnières (CVS) sur l'ensemble du territoire.

Après la Chambre des Notaires d'Ile-de-France qui observait ce matin la flambée des prix de l'immobilier parisien, c'est au tour de l'Insee d'exposer ses chiffres à l'échelon national.

1,5% en variation trimestrielle / 8,7% en variation annuelle

Les ventes d’appartements ont marqué le pas au début de l’année dans la capitale. Mais en dépit d’un recul affiché de 12 %, la hausse des prix a une nouvelle fois sévi dans l'ancien au premier trimestre.

La France, qui a connu une hausse de 140 % des prix de l'immobilier depuis la fin des années 1990, est-elle dans une situation de bulle immobilière ?

Bonsoir,

Comme vous avez pu le constater, Rue de l'immobilier a été inaccessible pendant quelques jours. Nous avons été victime de l'attaque de pirates non identifiés. Nous revenons avec un site plus sécurisé et heureusement intact, le site ayant pu être sauvegardé !

En espérant que vous serez toujours aussi nombreux et passionnés sur le site !

Alexandre

La question n'est plus de savoir si ça va baisser ou pas, mais plutôt quand? et comment? A noter que selon "seloger" la baisse est deja amorcée (mais stat sur l'ensemble de la France, donc Paris est peut etre toujours en hausse)

La dernière mise à jour des chiffres des Notaires de France confirme qu'il n'y a pas un, mais plusieurs marchés immobiliers aux comportements distincts.

L’inquiétude va croissant pour les futurs acquéreurs, tant en ce qui concerne la montée des taux que celle des prix.

Baromètre se loger d'avril : "Le ralentissement de la hausse des prix anticipé le mois dernier, avec de premières baisses des prix de vente dans certains arrondissements parisiens, se confirme". Commentaire étrange, car le prix au m2 en avril ne baisse que dans un arrondissement (le 1er, aux volumes toujours faibles). Au total, la hausse est de 1,66 % à Paris sur le mois d'avril, 7,3 % sur le 1er quadrimestre. Donc le rythme annuel de hausse reste autour de 20 %.

« On parle de « marché immobilier » par facilité, mais si on veut être exact, il faut raisonner en termes de micro-marchés locaux. […] A l’heure actuelle, les prix sont orientés à la baisse sur environ un cinquième de ces micro-marchés. [...] Compte tenu des facteurs que nous venons d’évoquer, il n’est pas impossible que cette proportion soit multipliée par deux d’ici la fin de l’année. »

Merci au Webmaster de vérifier si cet article n'a pas déjà était posté...

Le site MeilleursAgents.com observe une poursuite de la hausse des prix à Paris et sa banlieue aisée ( 1% en mars).

Le MEDDTL vient de publier la nouvelle carte des risques sismiques. Rien à voir avec les évènements japonnais mais il faut en tenir compte dans les nouveaux projets de constructions.

Y a-t-il une bulle immobilière en France ?

''Depuis trente ans, le prix des logements anciens a été multiplié par deux, tandis que les loyers n'ont progressé que de 30 %, en ligne avec le revenu des ménages. Se penchant sur le phénomène, le Centre d'analyses stratégique (CAS), un organisme de recherche et d'aide à la décision placé auprès du Premier ministre, estime qu'il s'explique par l'existence d'une bulle spéculative.......''

et plus loin :

''Que se passera-t-il en cas d'éclatement de la bulle ? Les dégâts devraient rester limités, estime le CAS.......''

La messe est dite : Il y aura, (et c'est tant mieux) mesures politiques, fiscales pour explosion de cette bulle.

"La Banque de France exige aux banques de resserrer les conditions d’octroi des crédits immobiliers car l’institution considère que les ménages disposent d’une faible capacité d’endettement."
"En d’autres termes,les autorités voient d’un mauvais oeil la hausse continue du surendettement des particuliers et l’augmentation affolante du prix moyen au m² sur le marché immobilier."
"La peur de la constitution d’une bulle spéculative existe.Il suffit d’observer la distorsion entre l’évolution du prix au m² sur Paris et l’évolution des revenus des ménages(en moyenne dans les 2 cas)."